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15.10.13

Un humain jete encore des ordures sur sa mer.

Je me suis levé ce matin avec une envie de poser un message.
Pas de lecteur à alerter, juste moi même pour moi même.
Du conscient vers ma partie ronflante.
Celle qui m'emmerde du fait de ne pas assez la comprendre.
Un message
une bouteille plastique à la mer faisant contenant pour un message d'enfulte*
Quoi ? Encore ?

Ben oui ! Encore ! La mer n'est plus à une merde pres et mon message ne va pas faire de moi un priapique guerrier virulant devant le bien de mon voisin.Il est également fort peu probable que mon piaillement du matin aille déclencher une pulsion meurtrière chez l'autre.
C'est juste une note. Un truc. Une pensée persistante malgré la première clope, le premier café et... bref.

Le truc marrant, c'est que j'ai voulu mettre ma petite pensée du matin en anglais. Comme si, bien que je considère mon message comme légé et sans conséquence sur ce que je suis, cela serait plus ... hygiénique ?! Moins obscène ?! Plus rock and roll ?! Moins introspectif ?!
Et d'ou viens ma crainte d’être compris ? D’où viens cette pudeur qui m’incite à user de petits stratagèmes (de merde) afin de ne pas paraitre ? Et pourquoi communiquer si c'est pour ne pas paraitre ?



En fait... Je vais reprendre un café et me fumer une grosse clope. Je crois que j'ai gravement foiré mon réveil.
 i'm using this noise for giving my fucking HAAAAAAAAA...message
message
i'm looking for my tribe
between my foggy noise and myself
I need a friend just to beeeeeee


11.10.13

MARECAGE, nous voilà !

Je sais!, ce titre fait remonter les miasmes de notre mémoire collective. Certains seront choqués, d'autres, de plus en plus nombreux, se remémoreront, nostalgiques d'une histoire qu'ils n'ont pas vécu, cette France qui fredonnait sans complexe la gloire de son grabataire de président. Ce dernier était également mélomane, mais précocement dur de la feuille, et avait dû mal comprendre les paroles d'un autre fleuron de la chanson française guerrière. Ainsi on pouvait entendre, de son Pas-de-Calais natal, le jeune Philippe entonner ce refrain écorné et non moins prémonitoire: "vous n'aurez pas que l'Alsace et la Lorraine". 
Eh bien non! ce n'est pas au Marécage Pétain que je viens ici rendre hommage mais au MARECAGE tout court. Ce Marecage c'est l'antithèse de cette France rabougrie qui reprend espoir à chaque avancée politique de Marine. Cette dernière qui, ne nous y trompons pas surtout, ne trouve sa différence avec son paternel que dans ses cheveux longs et ses dix dixième aux deux yeux. Bref, Marecage, disais-je, c'est l’antithèse de cette France qui se prend a rêver comme Jean-Marie naguère, le regard lointain et la larme à l’œil, au retour des élans passionnés de 1940 et d'une France peuplée de français de souche. A ce sujet je ne saurais trop conseiller au futurs électeurs de se refaire un petit arbre généalogique, ce serait dommage d'être "charterisé" par ignorance de sa propre histoire. Marecage c'est l'antithèse car plutôt que de réclamer des frontières et des murs il me donne aujourd'hui la possibilité de livrer au monde entier l'infinie insignifiance des mes états d'âme. Il me donne le courage de pouvoir dire tout bas ce que bien d'autres disent tout haut mais en moins bien des fois, mais pas toujours. Un jour les gens s'apercevront que ce que j'écrivais ils le savaient déjà. Mais ce sera trop tard. Je suis fier d'ajouter mon petit moi à tout ces petits eux qui forment l'autoroute de l'information. Je m’efforcerai moi aussi d'éclairer les esprits avec ma propre vision objective à moi-même, pour le bien de tous. Nous formerons un contre pouvoir crédible à la désinformation. Merci Marecage, je t'aime